La vérité et la réconciliation à l’avant-plan

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La Fédération procède à la création d’un conseil consultatif autochtone (CCA)

La Fédération travaille actuellement à la constitution d’un CCA qui fournira une orientation et des conseils concernant le travail de réconciliation de la Fédération. Comme indiqué dans son mandat, le CCA sera composé d’Autochtones représentant diverses régions, cultures, tranches d’âge et identités de genre. Le CCA offrira un appui et une orientation aux efforts de la Fédération visant l’établissement de relations avec les parties prenantes autochtones. Il soutiendra aussi d’autres initiatives entreprises par la Fédération et soumettra des recommandations au Conseil de la Fédération, selon les besoins. (Septembre 2021)

La Fédération approuve les recommandations du Comité consultatif de la Commission de vérité et réconciliation (CVR)

En juin 2020, le Conseil de la Fédération a voté l’approbation d’une série de recommandations formulée par le Comité consultatif sur les appels à l’action de la CVR. Ces recommandations, qui tracent la voie que la Fédération doit suivre sur le chemin de la réconciliation avec les peuples autochtones, sont décrites dans un rapport émis par le Comité consultatif. La Fédération a également adopté, en décembre 2020, une déclaration publique d’engagement en faveur de la réconciliation qui comporte une série de principes de base destinée à éclairer l’ensemble des travaux de la Fédération. (Décembre 2020)

La Fédération procède à la création d’un Comité consultatif sur les appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation (CVR)

En 2017, la Fédération a mis en place un Comité consultatif sur les appels à l’action de la CVR. Le Comité était composé de 10 membres, dont six représentaient des communautés des Premières Nations, des Métis ou des Inuits. Les membres du Comité représentaients aussi le Conseil de la Fédération, des barreaux, des facultés de droit et des organisations autochtones. Le mandat du Comité est de faciliter l’échange de renseignements sur les initiatives menées par les barreaux et les autres parties prenantes, de formuler des recommandations en réponse aux appels aux actions 27 et 28 (formation sur les compétences en matière de culture autochtone à l’intention des avocats et des étudiants en droit), 50 (instituts de droit autochtone), ainsi qu’à tout autre appel à l’action que le Comité consultatif juge approprié. (Mars 2017)

La Fédération s’engage à répondre aux appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation (CVR)

En 2016, la Fédération s’est engagée pour la première fois à répondre aux appels à l’action de façon à respectueusement solliciter la participation de représentants des peuples autochtones du Canada et à promouvoir la réconciliation. Le respect de cet engagement reposait essentiellement sur la reconnaissance du fait que toute réponse à un appel à l’action constitue une responsabilité partagée entre les barreaux et la Fédération. (Mars 2016)

La Conférence annuelle de la Fédération s’est concentrée sur les appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation (CVR)

Afin d’amorcer son dialogue national sur l’élaboration d’une réponse adéquate aux appels à l’action de la CVR, la Fédération a décidé d’axer la Conférence annuelle tenue en octobre 2015 sur la Commission. À cette occasion, des ordres professionnels de juristes, des universitaires, des dirigeants autochtones et des intervenants clés ont indiqué que la réponse devrait être significative, rapide et le fruit d’une collaboration directe avec les peuples autochtones. Un consensus s’est également dégagé sur le fait que la réponse devrait être une priorité, tant pour les ordres professionnels de juristes que pour la Fédération, et que toute réponse devrait prendre en compte non seulement les appels particuliers aux organismes de réglementation, mais également l’ensemble des recommandations présentées dans le rapport. (Octobre 2015)

Photo : Darrel Pink, directeur général de la Nova Scotia Barristers’ Society, a animé une discussion entre experts sur l’importance de la compétence culturelle chez les juristes. Les panélistes comptaient Leonard S. (Tony) Mandamin, juge de la Cour fédérale du Canada; Aimée Craft, professeure à l’Université du Manitoba; et Lorne Sossin, doyen de la faculté de droit Osgoode Hall de l’Université York.

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